Le blazer blanc …
BLANC.
(Je t’ai dit qu’il était blanc?)
Bah l’est pu.
Du tout.
Trois minutes après être sortie dans la rue, s’est mis à pleuvoir (genre beaucoup – mais pas longtemps ok). Sérieux ? Il pleut un jour par mois à Marseille, a fallu que ce soit LE jour du blazer blanc (et du brushing ?!?) ?
Et puis après, j’ai dû m’approcher trop près de la carrosserie (sale, très sale) de la voiture avec ma manche droite.
Ensuite, je me suis assise sur un rocher, puis par terre.
Et pour finir, j’ai eu la merveilleuse idée de porter Natcho (mouillé et sale – oui, autant finir en beauté. Je le laverai et puis c’est tout … Autant s’amuser !)
Ça l’a ACHEVÉ, le blazer.
Mais tous ces risques pris, c’était AVANT de regarder l’étiquette et de m’apercevoir que la petite icône de la machine à laver était BARRÉE … WTF ? Depuis quand les fringues Zara ne se lavent pas en machine ?
Bon. Je saurai, toujours vérifier l’étiquette avant de jouer les cacous avec un blazer blanc.
Et vu l’état du truc, j’ai plus qu’à l’emmener au pressing. Le problème avec moi, c’est que ça fait déjà plusieurs jours que je dois y aller, et le blazer attend sagement dans son sac. J’ai même écrit « PRESSING » en gros, en rose, en gras, en capitale sur ma to-do list. Je sens qu’il va me narguer encore quelques jours avant que je daigne enfin y aller.
Ché po, suis pas motivée.
C’est typiquement le genre de petites choses pour lesquelles je repousse l’échéance jusqu’au dernier moment (par exemple, quand j’aurais envie de porter à nouveau mon blazer !).
Je vous fais des bisous les filles, moi je file au pressing (nan j’déconne !!! )
A très vite pour un article sur le running je pense !